“Il n’y a pas si longtemps encore, dans les années 1970, le terme «violence conjugale» ne faisait même pas partie du langage populaire et on parlait plutôt de chicanes de ménage. Avec les campagnes de sensibilisation qui ont vu le jour par la suite, on espérait enrayer cette violence, mais malheureusement, force est d’admettre aujourd’hui qu’on n’y est pas arrivés. À preuve, il y a actuellement au Québec une centaine de maisons d’hébergement qui, bon an mal an, viennent en aide à 15 000 femmes et enfants.
Notre équipe est allée passer deux jours à la Bouée, un centre d’hébergement qui accueille 24 heures sur 24 des femmes très vulnérables.
Une violence dont personne n’est à l’abri”…